vendredi 27 août 2010

Dodo, le combat. Premier round

21h

Valérie, excédée : «Souriceau et Douce parlent encore dans leur lit!

Yves, exaspéré : Elles n'ont peur de rien : je viens de les avertir et c'est comme si je n'avais rien dit... Un peu plus et elles me reprochaient de les déranger!

Valérie : Y'a pas à dire, on fait rire de nous autres.

Yves : Elle n'ont aucun respect pour l'autorité! Dans mon temps, quand ma mère apparaissait dans le cadre de porte, je te jure qu'on se la fermait!

Valérie : Si elles ne nous écoutent pas à six et quatre ans, imagine plus tard... À dix ans elles vont nous envoyer nous faire voir, vont lâcher l'école à 14, et, à 15 ans on va les perdre dans l'enfer de la drogue, de la prostitution et des grossesses non désirées!

Yves : On ne peut pas laisser faire ça. Il faut agir.

Valérie : Tu as raison, pensons à leur bien à elles... Mais que faire? À part appeler Super Nannie à la rescousse... Que ferait-elle devant ce type de problème? Ça me dit quelque chose... ah oui, je me souviens, ma grand-mère (une grande fan) m'a parlé d'une émission où Super N suggère aux parents de coucher les enfants dans des chambres séparées. Tu parles d'un conseil facile à appliquer avec quatre enfants et une maison de trois chambres! Puisqu'on ne peut pas déménager cette nuit, soyons un peu créatif...

Valérie, s'adressant aux deux pies : Les filles, ça suffit! Pour toute la semaine, vous allez être séparées pour dormir : en alternance, l'une de vous va débuter sa nuit dans notre lit. Ça commence maintenant. Douce, prend ton oreiller, tu changes de chambre.

Douce, catastrophée : Noooooooo.... (s'agrippe à son lit, ses couvertures, ses toutous)

Valérie, la prenant dans ses bras pour la déplacer : Aller, demain, ce sera le tour de Souriceau.

Douce, en crise : Noooooooo.... (se jete par terre en arrivant au lit, essaie de se sauver, bref, tente par tous les moyens d'échapper à son destin)»

Après quinze minutes de gestion de crise, la maison redevient calme : les parents peuvent enfin relaxer en pliant une partie de la montagne de linge qui traîne.

21h30.

Valérie fait une tournée ...et trouve Douce dans son lit!

Valérie, qui s'est développé un self control hallucinant depuis qu'elle a des enfants : «Douce, qu'est-ce tu fais là? Je ne t'ai pas donné la permission de revenir dans ton lit!

Douce ensommeillée : Maman, tu me déranges, je dors.»

22h.

Valérie, à Yves, en se couchant : «J'ai réfléchi : notre objectif principal, c'était qu'elles arrêtent de parler. On peut discuter les détails, mais, au final, on a eu ce qu'on voulait. Je crois qu'on peut se fécliciter d'avoir gagné une belle bataille, ce soir.

Yves : C'est sûr!»

***
Dans la nuit, chacun pour soi...

Yves : «Le doute m'assaille...

Valérie : Ne pas s'emmêler dans les détails, ne pas s'emmêler dans les détails...

Douce : Héhé, trop faf!»

Miessence, le top des produits de soins corporels bio

Je suis vraiment très très contente de pouvoir offrir chez Rikiki la ligne Miessence, la première ligne de produits cosmétiques bio à avoir obtenu la certification internationale USDA, une certification de grade alimentaire, qui garantit une qualité de produit telle qu'elle pourrait être ingérée sans danger.

La politique de la compagnie est de n'utiliser que des produits 100% naturels, choisis en fonction de leur propriétés à agir en harmonie avec le corps pour l'aider à conserver son équilibre. Miessence exclut de ses produits tous les ingrédients synthétiques que l'on retrouve généralement dans les produits cosmétiques (qui jouent souvent un rôle de stabilisateur) et qui , étant absorbés par la peau, se stockent tout au long de la vie dans l'organisme.


Très impliqué environnementalement parlant, Onegroup, propriétaire de la marque Miessence, s'est assuré que toute la chaîne de production de ses produits libère les moins de déchets possible, de la construction de l'usine à la conception des emballages, qui sont en plastique biodégradable. Une portion des profits de Miessence est d'ailleurs redistribuée à des organisations vouées à la protection de l'environnement, dont la fondation David Suzuki au Canada.

En magasin, nous tenons principalement la ligne pour Bébé de Miessence, ainsi que la ligne des soins corporels de base (savon, dentifrice, crème solaire, déodorant, crème hydratante), mais les produits cosmétiques plus spécialisés (maquillage, masques de beauté, parfums, ect.) sont disponibles sur commande.

Je vous ferai de temps à autres des articles sur les différents produits de la gamme, en détaillant les ingrédients utilisés et leurs effets sur l'organisme. En attendant, si vous passez à la boutique, Yves se fera un plaisir de partager ses connaissances avec vous (les produits naturels, c'est son dada!)

jeudi 26 août 2010

Arithmétique maternel

Valérie : «Et puis, comment s'est passé le vaccin de Bébé M. aujourd'hui?

Yves : Bien, même si ça ne lui a pas fait plaisir...

Valérie : Oh, elle a beaucoup pleuré?

Yves : Mets-en!

Valérie : Pauvre chou...

Yves : Ah, oui, aussi : l'infirmière a dit qu'à 18 mois, elle devrait dire au moins 20 mots.

Valérie : 20 mots? Elle n'est pas très loin...

Yves : Bah, elle a un léger retard de langage, mais je ne crois pas que ce soit inquiétant...

Valérie : Un retard? Attend une minute, elle en dit combien de mots, au fait? Faisons une liste :

  • 1 - Maman

  • 2 - Papa

  • 3 - Laooooore (Douce)

  • 4 - Wawa (un chien ou tout autre animal)

  • 5 - Caca

et..., quoi d'autre? Ah oui,


  • 6 - Ok

Mais celui-là, c'est un mot d'adulte, c'est compliqué, on va le compter pour deux


  • 8 - Va


Yves : Va?

Valérie : Oui, c'est pour désigner ses souliers. Cette nuit, c'est ce qu'elle m'a dit pour me faire comprendre qu'elle voulait mettre ses souliers à l'intérieur de sa gigoteuse.

Yves : Ses souliers, ... dans sa gigoteuse? Et tu l'as fait?

Valérie : À 3h30 du matin, je fais pas mal tout ce qu'elle demande.

Yves, levant les yeux au ciel : (soupir)

Valérie : Bon 8 mots... Mais il faut considérer qu'elle est très bonne côté moteur, et qu'elle ne peut pas mettre son énergie partout. À cause de ça, je pense qu'on peut compter les mots qu'elle dit pour le double, donc 16 mots.

Yves : ...

Valérie : Et, en plus, elle est la quatrième enfant de la famille, et tout le monde parle tout le temps pour elle. C'est sûr que si elle était l'aînée, elle dirait certainement plus de mots, au moins quatre fois plus. 16 multiplié par 4, ça donne 64. 64 mots, c'est excellent, ça! Tu en connais beaucoup des enfants de 18 mois qui disent 64 mots? Elle n'est pas en retard, notre fille, au contraire, elle aurait de la graine de surdouée que je ne serais pas surprise. Pas une miette!

Yves : Bien sûr...

Valérie : C'est ce que tu aurais dû lui dire, à l'infirmière. La prochaine fois, c'est moi qui vait y aller, tiens!

lundi 23 août 2010

Marketing post partum

Je reçois un coup de téléphone, deux ou trois mois après la naissance de l'Ingénieur :

Télémarketeuse : «Bonjour Madame, je vous appelle des éditions XYZ, je crois que vous avez eu un bébé dernièrement?

Valérie, naïve, qui se demande tout de même comment la dame à eu cette information : En effet.

Télémarketeuse : Vous savez, n'est-ce pas, à quel point il est important de lire des histoires aux enfants pour favoriser leur développement cognitif et augmenter leur facilité en lecture plus tard?

Valérie, prudente : oui, merci, je suis au courant.

Télémarketeuse : Nous avons justement une collection parfaitement adaptée aux bébés de moins de 6 mois. Si vous êtes d'accord, je vous envoie un livre gratuitement, ainsi que deux autres que vous nous paierez seulement si vous désirez les garder. S'ils ne vous intéressent pas, vous n'avez qu'à les retourner par la poste.

Valérie, qui n'aime pas particulièrement les éditions XYZ, et encore moins ce type de promotion: Euh, non, merci.

Télémarketeuse : Vous ne voulez pas lire de livre à votre bébé?

Valérie : Bien sûr que je veux lui en lire! (zut! exactement ce qu'elle voulait que je réponde)

Télémarketeuse : Dans ce cas, je vais prendre votre adresse pour vous envoyer un magnifique exemplaire de notre collection.»

Heureusement, à force d'argument, j'ai réussi à me débarasser de ma télémarketeuse sans avoir à profiter de son extraordinaire promotion. Lorsque Souriceau est née, j'ai eu le même genre d'appel, que j'ai toutefois traité avec un peu plus de fermeté, l'expérience aidant. Mais lorsque j'ai ai reçu un troisième, juste après la naissance de Douce, j'avais eu le temps de préparer une petite riposte :

Télémarketeuse : «Vous savez, n'est-ce pas, à quel point il est important de lire des histoires aux enfants bla bla bla?

Valérie, d'un ton renfrogné : Ouais, j'en ai entendu parler.

Télémarketeuse : J'ai justement une belle collection de livres pour bébés bla bla bla...

Valérie : Si on avait des livres, je serais pognée pour lire des histoires...

Télémarketeuse : Mais, madame, c'est très important pour leur développement...

Valérie : C'est ben beau leur développement, mais j'ai d'autres chose de plus intéressant à faire dans la vie que de lire des histoires, moi!

Télémarketeuse, outrée : Vous ne voulez par faire un petit effort pour le bien de vos enfants?

Valérie : Mes enfants, ils écoutent la télé est ils aiment ben ça. Je ne vois pas pourquoi je leur achèterais des livres.

Télémarketeuse : Ah, ben, c'est comme vous voulez... Aurevoir

Comme quoi, avoir plusieurs enfants, ça peut aider dans toutes les sphères de la vie... Et ma télémarketeuse, qui aurait manqué sa vente de toute façon, a au moins eu quelque chose à raconter à ses collègues ce soir-là...

mardi 17 août 2010

Des règles et des interdits

Nous sommes dans la voiture, de retour du soccer où Maman vient de coacher son premier match (en rotation, c'était mon tour... On a fait une nulle, ce qui est très bien compte tenu des résultats de la saison. Bravo aux joueurs, et merci aux 5 ou 6 parents qui ont joué les assistants).

Bref, retour du soccer.

L'Ingénieur, pensif : «Maman, moi, je vais avoir deux adolescences.

Maman : Ah oui? (c'est gentil de prévenir)

L'Ingénieur : Là je suis dans ma première crise d'adolescence.

Maman, qui réprime un sourire : Qu'est-ce qui te fait dire ça?

L'Ingénieur : C'est évident! Je n'ai pas envie d'écouter vos règles, et je dis plein de bêtises...

Maman, en souriant : Toi, tu dis des bêtises?

L'Ingénieur : Oui, un peu. Mais c'est juste ma première adolescence, alors ce ne sont pas des grosses bêtises. À mon âge, les bêtises ressemblent souvent à des mots de toilette, mais à la deuxième adolescence, tu vas voir, je vais pouvoir dire des choses comme «je m'en fous».

Maman : On va vérifier, mais je crois que c'est interdit, d'avoir deux adolescences».

samedi 14 août 2010

Passionnantes poussettes!

Protégez-vous consacre un article aux poussettes ce mois-ci.

Très intéressant pour les parents qui sont en période de magasinage, l'article rapporte les résultats obtenus lors de test effectués par les parents sur quinze poussettes, réparties en 3 groupes, les poussettes «classiques», les «transformables» et les «tout-terrain».

Quatre critères d'évaluation :

1- Utilisation (facilité à monter la poussette, à y installer le bébé, à faire les ajustements) (30%)

2- Pliage, dépliage, transport (20%)

3- Maniabilité (30%)

4- Aisance tout-terrain (20%)

La poussette ayant obtenu la meilleure note globale est la Bob Revolution (ci-contre), avec 90%. Mais comme 20% de la note globale reposait sur l'aisance tout-terrain, il me semble normal que ce soit une poussette de cette catégorie remporte la palme. D'ailleurs, la deuxième position est aussi attribuée à une poussette tout-terrain (Mountain Buggy, avec 87%).

J'avoue pour ma part un petit faible pour les poussettes transformables, principalement pour la possibilité qu'elles offrent de changer la position du siège afin que l'enfant puisse faire face à la route ou au parent, selon le besoin du moment (en fait, c'est surtout la possibilité de faire face au parent qui est intéressante, car il semble que ce soit meilleur à long terme pour le bébé, il en est question ici, entre autres). Dans cette catégorie, les modèles Bugaboo Frog et Maxi-Cosi Forray sont presque à égalité, avec respectivement 86 et 85%.


Pour ce qui est des poussettes classiques, elles ne font pas tout à fait le poids dans la compétition, sauf certaines qui performent au critère de la facilité de pliage et de transport.

Le test ne couvre que 15 poussettes, alors qu'il y a bien davantage sur le marché. De plus, l'importance des critères varie beaucoup d'un parent à l'autre, ce qui fait que je crois qu'il serait très intéressant pour les parents qui en sont à l'étape du magasinage de connaître vos coups de coeur à vous, question poussette...

Merci de vos commentaires!

jeudi 12 août 2010

Les Chefs, la suite

Au souper, hier soir.

L'Ingénieur : «Hum, papa, ton poulet est très bon, mais je crois qu'il serait meilleur avec un peu de sauce.

Regards étonnés des parents.

Ingénieur, qui poursuit : La présentation de ton assiette aurait pu être un peu plus belle, je sais que tu es capable.

Sourires en coin des parents.

Ingénieur, très sérieux : J'aime beaucoup tes brocolis, la cuisson est parfaite!

Vous avez bien entendu, il a bien dit «J'aime beaucoup tes brocolis»

Ingénieur, déchaîné : Par contre, pour les choux de bruxelles, c'est un peu moins réussi. Ils manquent de cuisson. C'est vraiment dommage, une prochaine fois, ça me fera plaisir de les manger, mais, ce soir, franchement, ce sera difficile.

Papa : Bien essayé, Ingénieur, mais tu manges tes choux de bruxelles.»

mercredi 11 août 2010

Notre émission familiale de l'été

Depuis le début de l'été, nous avons un incourtournable familial à la télé.

Souriceau, l'organisatrice en chef, toujours au courant de l'horaire, compte presque les jours en fonction de ça : «C'est demain, lundi! Il reste juste une journée avant... Les Chefs!»

Les Chefs! Qui l'eût cru? Les enfants sont passionnés par cette émission. Je suis sidérée de les voir suivre avec attention la préparation d'un flan de petits pois, ou encore pousser des oh! et des ah! devant les difficultés rencontrées par les candidats aux prises avec un laminoir... ;)

Ils ont chacun leur candidat préféré : Angélique (malheureusement éliminée) pour Douce, Guillaume pour Souriceau, et Francis pour l'Ingénieur. (Et moi j'avoue un petit faible pour Arnaud) Sujet de discussion récurrent pour les enfants, l'émission est même le thème principal de la plupart de leurs jeux de rôles ces temps-ci (genre, moi je suis Guillaume, ok? c'est moi qui cuisine aujourd'hui...)

L'aspect compétitif de l'émission compte probablement pour beaucoup dans leur intérêt, mais, tout de même, j'aime à penser que ça va contribuer à leur ouvrir l'esprit par rapport à la bouffe.

Et peut-être que c'est déjà commencé. Ce midi, j'ai appelé à la maison du boulot :

Ingénieur, qui répond : Ah! Salut maman! Qu'est-ce que tu veux?

Maman : Je voulais savoir comment ça allait...

Ingénieur : Oh... Ça va bien, Papa me prépare les ingrédients pour que je fasse cuire un oeuf, tout seul! C'est trop hot!

Maman : Super! Tu me diras comment ça s'est passé ce soir... Bon dîner!

Ingénieur : Bon dîner!

****
AJOUT
*****

L'Ingénieur a crevé son jaune d'oeuf, mais il l'a mangé quand même... En fin de semaine, je lui fais faire une omelette!

lundi 9 août 2010

Service après-vente

Yves passe à la Maison de naissance de Limoilou avec Bébé M, 18 mois, pour y déposer des dépliants pour la boutique.

Yves, à la sage-femme à l'accueil : Bonjour! Je vous présente Bébé M, un des bébés des débuts, elle est née seulement quelques mois après votre ouverture officielle.

Sage-femme : Ben oui!!! Tu parles d'une belle fille! Elle va bien?

Yves : Ben en fait, elle a un défaut de fabrication, je crois... Elle dit tout le temps non.

Sage-femme : Hum... je suis désolée, je croyais qu'on vous avait avertit : on ne les reprend pas.

samedi 7 août 2010

Saisir le jour

Dans la dernière semaine, j'en ai eu marre que mon adolescent de 8 ans nous impose ses humeurs à longueur de journée. Bougonneries, chicanes avec ses soeurs, désintérêt envers tout sauf l'ordinateur et la télé, rechignage au repas -et j'en passe; j'ai averti, réaverti, puis -c'était mardi, j'ai fait une redoutable crise de mère.

(je vous passe une partie de ma tirade, mais l'essentiel du message y est)

Maman : Ingénieur, ça suffit, tu viens de dépasser ma limite. Tu passes le reste de la journée dans ta chambre, et... (qu'est-ce que je pourrais bien lui donner comme punition? ah oui, je sais) ...et demain tu vas au camp!

Ingénieur : Hein?! Pas au camp? Tu ne peux pas faire ça!

Ben quin que je peux. Il est inscrit tout l'été. On s'était entendu pour qu'il y aille seulement les deux premières de juillet, avant mes vacances, mais quand il faut prendre les grands moyens...
J'ai failli fléchir, mais une petite séance de tirage de cheveux avec Souriceau le lendemain matin m'a convaincue.

L'Ingénieur est parti la mine basse, larmoyant, comme s'il s'en allait en maison de redressement.

Au retour, il souriait, et le jeudi et le vendredi se sont beaucoup mieux passés à la maison.

***
Vendredi, 17h.

Ma voisine et amie (appelons-la Brain) appelle :

Brain : Salut! Êtes-vous occupés ce soir? On a deux billets de surplus pour le Baseball, est-ce que ça te tenterait de venir avec l'Ingénieur?

Maman : Quelle bonne idée! On va en être!

***
Vendredi, 17h05

Maman, à l'Ingénieur : Ingénieur, j'ai remarqué que ça va beaucoup mieux à la maison depuis que tu es allé au camp. Je suis très contente de tes efforts, et j'ai pensé que pour te récompenser, on pourrait aller au Baseball ce soir avec Brain et Brainer? (Brain et Brainer, elle est bonne, hein? mais ce n'est pas de moi, mais d'eux-mêmes. Déjà que je travestis leur invitation à mon avantage, je vais leur laisser le crédit de leur bonnes blagues)

Ingénieur : ah, oui! Merci, maman!!!

***
Je vous entends d'ici penser que c'est peut-être un brin opportuniste, comme attitude. Ben oui, c'est opportuniste, mais, comme parent, il faut savoir profiter de toutes les occasions que la vie nous offre. Tsé, comme dans Carpe diem.

***
On a passé une excellent soirée. Des tounes de Baseball, des pitounes qui dansent entre les manches, des concours, une course de poussettes - ben oui, c'était la soirée Amène ta bedaine, c'était juste dommage que je n'aie pas amené de dépliants de la boutique... Bref, l'ambiance parfaite dans le stade. Et les Capitales ont gagné, en plus. Carpe diem, je vous dis...

mardi 3 août 2010

Des ailes pour marcher?

Après le Time out pad, voici un autre gadget au nom anglais difficile à traduire pour que ça sonne bien : le Walking wings.

En français, on lui donne généralement le nom d'assistant d'apprentissage de la marche, ce qui décrit un peu sa fonction : il s'agit d'une ceinture de thorax reliée à deux courroies, que le parent peut tenir pour aider l'enfant à marcher sans avoir à courber le dos pour lui tenir les mains.






Si vous êtes dans une période où vous passez votre temps à faire le tour de la maison en promenant Bébé qui adore la position verticale, vous reconnaîtrez sans plus d'explication toute la valeur d'une telle invention.

Pour les autres, sachez que l'Assistant d'apprentissage de la marche Walkings wings permet aux bébé de :

  • Faire moins de chutes
  • Garder son équilibre plus naturellement avec les deux mains libres
  • Prendre confiance et d'acquérir de l'indépendance

...tandis qu'il évite aux parents de pénibles dorsalgies.

Ben voilà! Maintenant, vous savez que les Walking wings existent, et y'a de quoi trouver qu'il y a des bonnes idées dans le monde de la puériculture.