samedi 31 octobre 2009

Rencontre de mi-session de... natation

La semaine dernière, c'était la rencontre de parents pour la mi-session des cours de natation de l'Ingénieur et de Souriceau. Leurs moniteurs m'avaient prévenue la semaine précédente, mais j'ai oublié, et, au lieu d'arriver quinze minutes à l'avance, je me suis pointée pile à l'heure de fin du cours.

Souriceau était déjà prête. Tristounette que je ne sois pas arrivée à temps, elle s'était habillée toute seule dans le vestiaire et m'attendait.

Mes réactions :

1. Me sentir coupable, et cheap, bien entendu;

2. Rejeter au plus vite la faute sur quelqu'un d'autre (genre, c'est pas un peu exagéré une rencontre de mi-session en natation?);

3. Consoler Souriceau de mon mieux, lui promettre de parler à sa monitrice au prochain cours, et lui donner sa collation;

4. Commencer à trouver que l'Ingénieur prend du temps à se changer et, en regardant sur le bord de la piscine par la vitrine, me rendre compte qu'il m'attend à côté de son moniteur;

5. Me précipiter sur le bord de la piscine pour me faire dire par le moniteur : «Ça va très bien avec l'Ingénieur, mais il a de la difficulté avec ses fusées sur le dos. Il faut qu'il apprenne à sortir son ventre pour ne pas caler.»

6. Reprendre mon souffle.

Au retour :

Maman à l'Ingénieur : «À soir, tu profiteras de ton bain pour pratiquer tes fusées sur le dos. Et pourquoi pas tes pongeons par la même occasion...

L'Ingénieur : Oh! Maman, t'es pas drôle!»

La Souris verte - la pharmacie des tout-petits

On est dans le dernier droit : les commandes rentrent à plein, tandis que le local devient de plus en plus présentable.

Hier, j'ai reçu mes produits La Souris verte - la pharmacie verte des tout-petits.

Mes coups de coeur :

La Crème bobos, pour soigner les petites écorchures et les piqûres. Elle est verte fluo : j'adore!

La Poudre de douceur à l'argile blanche. Une heureuse alternative au corn stach pour aider à prévenir l'érythème fessier, et sans dégât grâce à la bouteille distributrice...






Le Tonique hivernal : avec le H1N1 qui nous tourne autour, un p'tit coup de pouce au système immunitaire ne sera pas de refus...



On a toute la gamme. Vraiment de beaux produits!


jeudi 29 octobre 2009

De l'évolution et des insultes

Souriceau et Douce se chicanent à propos d'un jouet depuis déjà plusieurs minutes.

Douce : «Non, je te'l donne pas!

Souriceau, folle de rage : Arrhhh! Espèce!

Douce (pleurant) : Mamaaaaaaan! Souriceau m'a traitée d'espèce.... Snif, snif...»

Houla! Les enfants ont parfois des éclairs de génie dans bien des domaines, en l'occurence celui de l'insulte efficace. Qu'on ne s'y trompe pas, Douce, toute petite soit-elle, comprend qu'en la traitant d'«espèce», Souriceau sous-entend qu'elle appartient à une espèce différente de la sienne. En fait, c'est exactement le même type de sous-entendu que dans le cas où Jo-Blo accuse son voisin d'être «une race».

Sauf que, vous en conviendrai avec moi, dans le cas d'«espèce», la portée est beaucoup plus large : se faire traiter de noir, de caucasien ou d'asiatique est bien insignifiant à côté de babouin, coquerelles, lombric ou que sais-je d'autre...

mardi 27 octobre 2009

Le décompte... et un concours!

Bon, le décompte est commencé : on a fixé la date d'ouverture de la boutique pour ... le 12 novembre!

Et d'ici là, branle-bas de combat : commandes à finaliser, travaux à terminer (reste les tablettes à poser et certains meubles à trouver), et... concours à organiser!



Ben oui! On va mettre un peu de piquant dans l'affaire. Alors, voilà ma petite idée de concours :



D'abord, le prix (pour stimuler l'intérêt) :






J'ai reçu mes copies ce matin, et, j'avoue, je triche, j'ai déjà dévoré mon exemplaire! Je promets à la personne chanceuse qui va gagner celui que je lui réserve un bon moment de franche rigolade...

Mais, justement, comment gagner ce prix alléchant?

Facile! Il suffit de vous abonner à mon blogue. Pour cela, vous cliquez sur «devenir membre», et, si vous n'en avez pas, vous pouvez vous créer un profil blogger, tout simple, même pas besoins de mettre votre photo. Vous avez jusqu'au 10 novembre 17 heures pour vous inscrire.

Le tirage, supervisé par L'ingénieur en personne, se fera le 10 novembre à 19 heures. Bonne chance!

dimanche 25 octobre 2009

Leçon de logique

Douce : «Maman, quand j'avais deux ans, j'avais quel âge?

Maman : Deux ans.

Douce : Non! Quand j'avais deux ans, j'avais QUEL âge?

Maman : Deux ans, ma Douce.

Douce, qui, mine de rien, commence à s'énerver : NOOON! QUAND J'AVAIS DEUX ANS, J'AVAIS QUEL ÂGE?

Maman, un modèle de calme malgré la situation qui se corse : Ben, quand tu étais un bébé, tu avais 1 an, après tu as eu deux ans, et maintenant tu as trois ans. Avant trois ans, tu avais deux ans. Est-ce que tu comprends?

Douce : oui

...

Douce : Maman, quand j'avais deux ans, j'avais quel âge?

Maman : Quand tu avais deux ans, tu avais deux ans.

Douce : Ah! Quand j'avais deux ans, j'avais deux ans! Papa! Papa! Quand j'avais deux ans, j'avais deux ans!»

Et voilà! A=A, le fondement logique par excellence. L'esprit des enfants, en ébullition permanente, est toujours séduit par l'élégance et le raffinement des concepts tordus comme la logique (dommage que cette inclination se perde en vieillissant). Ma résolution : toujours garder cette idée à l'esprit désormais.

Douce : «Maman?

Maman : Oui?

Douce : Quand j'avais quatre ans, j'avais quel âge?»

Argh!

vendredi 23 octobre 2009

Le chat Rikiki

Pour occuper les enfants qui vont accompagner leurs parents chez nous, notre graphiste de chez Le Saint a eu vraiment une chouette idée!


Un chat Rikiki à colorier!


Avouez que c'est mignon!


mardi 20 octobre 2009

L'hygiène au temps du H1N1

Le souper terminé, Souriceau se précipite au salon pour écouter la télé.

Papa : Souriceau! Tes mains! Va les laver à la salle de bain.

Souriceau : Pas besoin!

...

Souriceau : J'les liche à la place!

lundi 19 octobre 2009

La centrifugeuse

Compte tenu des dispositions très maternelles de ma Douce, je ne m'inquiétais pas trop de l'impact chez elle de l'arrivée du nouveau bébé en février dernier. Comme de fait, à par quelques pipis au lit -c'est inévitable, il n'y a pas eu de réaction majeure.


En fait, Douce a reçu sa petite soeur comme un cadeau : c'était son bébé. Elle m'aidait à changer sa couche, m'apportait son linge, lui chantait des chansons, etc. Mignon, mignon...

Et plus le bébé vieillissait, plus Douce trouvait des choses à faire avec elle... sans moi. Je ne compte plus les fois où je l'ai surprise à «changer sa couche» - le beau dégât!, ou à déplacer sa soeur d'une pièce à l'autre en la tirant sous les bras. Ni les fois, plus inquiétantes, où je suis arrivée juste au moment où Douce faisait grimper Bébé M sur un divan ou sur un lit... À chaque fois, elle est punie, c'est-à-dire qu'elle est placée en retrait durant trois minutes, avec un sermon en prime. Mais ça ne règle pas le problème. Douce sait qu'elle ne peut pas prendre sa soeur. Elle le sait, mais elle ne le comprend pas : du haut de ses trois ans, elle est convaincue, je veux dire, intimement convaincue, qu'elle a toutes les qualifications requises pour s'occuper d'un bébé. Comment pourrait-elle faire quelque chose de mal, alors qu'elle est animée des meilleures intentions?


Si on ajoute à ce portrait que plus elle grandit, plus Bébé M apprécie les initiatives de sa grande soeur, je crains qu'on n'ait pas fini de les surveiller, ces deux-là. Leur dernier coup :


Un soir, je fais la vaisselle, et j'entends Bébé M hurler de rire au salon. Je me précipite, parce que, tout joyeux soit-il, un pareil éclat est toujours louche, et je tombe sur Douce qui, tenant Bébé M contre elle, fait un tourniquet digne de la centrifugeuse d'une machine à jus.


Aussitôt qu'elle me voit apparaître, Douce dépose sa soeur, et conciliante :


«Z'va aller m'assire trois minutes.


- On dit s'asseoir.


Qu'est-ce que je pouvais ajouter d'autre?

samedi 17 octobre 2009

Le siège du conducteur

On a une mini-fourgonnette (avec quatre enfants, ce n'est pas un luxe). Je n'ai pas calculé précisément, mais je dirais au pif que j'utilise la voiture plus souvent que mon chum, notamment avec les enfants, pour les cours de natation, le magasinage, les sorties, etc. Bref, je conduis très souvent la voiture avec les enfants à bord. À vrai dire, les seuls moments où ce n'est pas moi qui conduis, c'est quand Papa sort avec nous, ce qui ne doit pas dépasser le 30% du temps.

Alors, moi, je me demande pourquoi, systématiquement, ma belle Douce ne manque jamais de remarquer lorsque je m'installe au volant : «Tu t'asseois à la place de Papa?»

jeudi 15 octobre 2009

Réception de marchandises

Je reçois plein de colis ces temps-ci, et j'ai profité d'une soirée un peu plus libre qu'à l'habitude pour en déballer quelques-uns. J'ai trouvé des choses intéressantes, comme...


Un siège Bumbo :

Les poupées Pella, qui ont la tête remplie de laine pour capter et conserver les odeurs familières à bébé, pour qu'il puisse les retrouver lorsqu'il s'en va de la maison...


Des filets d'allimentation Baby Safe feeder, qui permettent de donner des morceaux d'aliment à suçotter à bébé sans danger d'étouffement :





Et, tiens, un dernier truc, des attaches-suces Kula klip, qui sont délicats et légers comme tout...


Ça suffit, maintenant. Je me laisse des surprises pour les prochains jours...

mercredi 14 octobre 2009

La honte

L'idée d'avoir une boutique à nous, c'est de gagner en qualité de vie. Ça peut paraître bizzare, dit comme ça, parce que c'est une tonne de travail comme projet, mais on y voit des avantages importants. Comme par exemple le fait que la boutique va fermer à 16h30 (alors que mon chum finissait à 17h30), et que le samedi, les enfants pourront aller «travailler» à la boutique, ce qui n'était pas possible à la quincaillerie, etc. Bref, on a peut-être des lunettes roses, mais on pense que ce sera un plus pour notre vie de famille.

Sauf qu'il y a un membre de la famille qui n'est pas d'accord.

À vrai dire, ce n'est pas au projet de boutique comme tel qu'il s'oppose. Non. On a plutôt affaire à un choc des valeurs : que son père ait laissé son emploi à la quincaillerie pour s'occuper d'une boutique d'accessoires pour bébés ressemble beaucoup plus à une disgrâce qu'à une promotion aux yeux de mon Ingénieur de fils...

Macho! À sept ans! Ça se peut-tu!!

Bon, il a trois soeurs dont il veut peut-être se distinguer, ça se peut. Mais ce n'est pas une excuse, non môssieur!

Bon, à son âge, les stéréotypes gars-filles sont encore très forts, c'est vrai. D'accord, mais quand même...

Heu... j'imagine que devant les amis de sa classe, ça va être gênant d'expliquer que son père est très très fort, MÊME s'il travaille dans une boutique pour bébés...

Hoooon! La honte, c'est sûr!

lundi 12 octobre 2009

Grande nouvelle

Je ne voulais pas le dire avec d'être certaine, mais là, c'est vraiment confirmé, et c'est une maman fière qui vous l'annonce : Bébé M. boit toute seule au biberon!

À partir du moment où j'ai décidé que c'était terminé l'allaitement entre 9h et 17h, elle a rechigné une journée, puis c'était gagné. On a quand même fait la ronde des biberons avant qu'elle fasse son choix, et la propriétaire de Rikiki en moi est quand même un peu déçue :



Elle n'a manifesté aucun intérêt envers le sophistiqué biberon de Think baby, qui ne contient bien entendu aucun BPA, et qui se transforme en gobelet lorsqu'on lui ajoute sa petite poignée et qu'on lui change sa tétine pour un bec de transition...






Ni non plus n'a éprouvé d'attrait pour le très beau et tout aussi écologique Green-to-grow...




Non, ce qui l'a allumée, sans doute dans un élan patriotique irrépressible, c'est ce fleuron du design québecois qu'est le biberon Playtex (un grand merci à Marie, sur ce coup). Eh oui, le modèle avec un sac de plastique qu'il faut changer chaque fois... J'ai essayé d'expliqer à Bébé M. que ce n'était pas très écologique, tous ces sacs, mais elle ne veut rien comprendre : elle peut boire assise, sans pencher la tête, et c'est tout ce qui compte.

Évidemment, quand elle sera un peu plus habituée, je vais tenter de profiter d'un moment d'inattention de sa part pour lui refiler un Think baby ou un Green-to-grow (surtout lorsqu'elle viendra se pavaner dans la boutique!), parce que, si je ne fais pas la promotion de mes produits, qui le fera?

À l'Orée du bois

Que fait-on à l'Action de grâces quand il fait beau? Ramasser le terrain? Que non!


On profite de la dernière fin de semaine pour aller aux pommes! Il fait plus froid à ce moment-ci de l'année, mais ce petit inconvénient est largement compensé par le fait que je trouve que les pommes de fin de saison sont plus croquantes et plus sucrées. Même si l'Ile d'Orléans est plus près de chez nous, on préfère aller à l'Orée du bois à St-Antoine-de-Tilly, d'abord parce que les pommes y sont meilleures (leurs spartan sont délicieuses, miam!), mais aussi parce que le Pont de Québec est moins encombré que le Pont de l'Ile lors des belles fins de semaine d'automne...


Aller! Mettez vos tuques pis vos beaux gants, c'est pas l'temps des pommes tout l'temps!

samedi 10 octobre 2009

Test

Durant les prochains jours, vous remarquerez sans doute des changements dans le visuel du blogue. C'est que je fais des tests, en attendant de trouver la formule parfaite... : )

N'hésitez pas à commenter, ça me fait toujours plaisir de vous lire.

vendredi 9 octobre 2009

Les enfants de ma fille

Douce a trois ans. Son activité principale : s'occuper de ses bébés. Des bébés poupées, des bébés toutous. Une vraie garderie : Léo, Henri-Victor, Élliot, Madeleine Toutou, Gros Laitte, Caramel, Enza, Laure Toutou, et j'en passe. Et elle les soigne, ses enfants.

Quand elle les amène à la piscine, elle s'assure de leur prendre chacun une serviette propre dans la lingerie, qu'elle étend soigneusement sur le plancher du salon (heu, le bord de la piscine).

Quand c'est l'heure du dodo, elle leur trouve à chacun un berceau, en vidant les paniers de linge du garde-robe de sa soeur (les siens n'étant pas à sa portée, pour éviter qu'elle passe son temps à les vider, justement).

Il y a aussi des journées de pique-nique, et là, ce sont les napperons et les ustensiles qui disparaissent de mes tiroirs.

Et bien entendu, il y a les soins quotidiens : les couches propres de Bébé M et ses vêtements ne restent jamais bien longtemps pliés, même lorsque j'essaie de les mettre hors de portée.

Je fais avec, en essayant de limiter les dégâts. Mais des fois, je trouve que Douce abuse un peu : elle part toute la journée à la garderie en me laissant sa marmaille à la maison qui, pas éduquée pour deux cennes, en profite pour se cacher dans les racoins les plus inprobables. Et quand c'est le temps de changer Bébé M, il faut que je joue à la cachette pour trouver une couche ou un pyjama...

dimanche 4 octobre 2009

Les bébés, ça se cultive

Pour la musique d'ambiance de la boutique, la collection Rockabye Baby a de sérieuses chances d'être à l'honneur assez souvent...


On n'échappera peut-être pas à Annie Brocoli plus tard, mais, pendant qu'on a le contrôle, autant se faire plaisir en redécouvrant avec Bébé de grands succès des Beatles, Nirvana, Radiohead, Bob Marley, Björk, et tout plein d'autres... En plus, les pochettes sont vraiment drôles!


À ma place, vous metteriez quoi?

Salon Mères et cie

C'était la dernière journée de travail d'Yves à la quincaillerie hier. J'ai maintenant un homme heureux et content de pouvoir travailler à temps plein sur la préparation du local. On n'a pas encore fixé la date d'ouverture, mais on se sent à l'aise d'annoncer que ce sera au début novembre. Tenez-vous prêts!


Pour mon dernier samedi de mère célibataire, je me suis payé la totale : une sortie aux Galerie de la Capitale avec les quatre enfants! C'est qu'il s'y tenait le Salon Mères et cie en fin de semaine, et, à défaut d'être exposante, je tenais à y aller, au moins pour faire un tour d'horizon des services offerts à Québec. J'ai bien fait : j'y ai fait des rencontres intéressantes, à commencer par Marie-Hélène, de chez BBBoom, qui va m'approvisionner en T-shirt de maternité et en produits au beurre de karité importés du Burkina Faso. Il y avait aussi Sandra, de Signes et Merveilles, qui enseigne le langage des signes pour les bébés, et Sarah Leblanc, qui anime des ateliers de massage parents/bébés, et toutes les deux se sont montrées intéressées à venir offrir leurs services chez Rikiki. On doit se rappeler dans les prochaines semaines pour voir comment articuler notre partenariat.


Et ensuite? J'avais promis un tour de manège pour les enfants qui seraient sages durant ma tournée du Salon. Chose promise chose due, je n'épiloguerai pas sur la cohue, le bruit, les lumières hallucinantes, les files d'attente et tout le tralalère; il faut rester positif, alors disons seulement que les enfants ont ADORÉ leur samedi...

jeudi 1 octobre 2009

Tu veux mon sandwich?

Trouvé tout à l'heure dans la boîte à lunch de Général Souriceau (5 ans) :

Bonjour,
Ce message est pour vous aviser qu'à la suite d'un mauvais tour d'un camarade, Général Souriceau s'est retrouvée privée de son sandwich. Le jeune garçon assis à ses côtés a versé le contenu de sa bouteille de jus d'orange sur son sandwich. Nous avons trouvé quelques raisins et un demi concombre pour tenter de lui remplir l'estomac. Le jeune fautif a terminé son repas en retrait et mangera seul toute la semaine prochaine. J'ai aussi pris soin d'aviser ses parents.
Bonne fin de journée,
L'éducatrice

Réaction de Maman : Hoonn! Oups, mon Général, c'est plate ça! Veux-tu une bonne collation? (Pauvre éducatrice, elle devait être nerveuse d'avoir à m'annoncer ça...)

Papa : Hoon! Une semaine de retrait! Pauvre ti-gars, c'est beaucoup...

L'Ingénieur (7 ans) : Un demi-concombre, mais ça n'a pas de bon sens! C'est pas un dîner!

Douce (3 ans) : Moi aussi je veux des raisins!

Bébé M (7 mois) : Mon dîner à moi a été excellent, même si maman est arrivée en retard ce midi à la garderie (pour allaiter, bien sûr, car côté biberon c'est pas mieux qu'hier) parce qu'elle était avec une copine et qu'elle n'a pas vu le temps passer...

Le Général : Bon, est-ce qu'on peut parler d'autre chose?

Bon, d'accord, on n'en parle plus. Fini, c'est oublié. On va pas se mettre à faire des drames avec rien, quand même...