jeudi 31 décembre 2009
Bilan 2009 : la célébrité
Par exemple, je me fais reconnaître au moins deux fois plus qu'avant lorsque je me promène sur la 3e Avenue à Limoilou, et les badauds se retournent parfois sur mon passage en chuchotant «c'est la maman de quatre enfants qui est propriétaire de Rikiki»... Je vous concède que c'est troublant, mais je réussis à ne pas trop m'en préoccuper... Mais nous sommes chanceux, grâce aux clôtures électrifiées et au volets métalliques que nous avons fait installer sur la maison, les paparazzi n'ont pas encore pu diffuser de photos compromettantes de notre famille en délire.
Il était toutefois primordial pour Yves et moi que les enfants ne souffrent pas de la vie publique de leurs parents. Ainsi, nous avons prévenu les professeurs et la directrice de l'école que nous préférerions qu'ils ne participent pas aux activités «le métier de mon père/mère», histoire de ne pas créer de jalousie chez les amis, et d'assurer leur sécurité; un kidnapping est si vite arrivé...
Par contre, la gloire et la célébrité m'ont aussi permis de vivre des expériences privilégiées, comme celle, tout à fait unique et extraordinaire, d'être invitée sur le plateau du Bye-bye-2009-Tout-le-monde-en-parle-des-blogues-de-mères de Imparfaite-et-alors?! L'entrevue menée de main de maître par Anik A.Lepage secondée par Julie folle du roi Turcotte est disponible ici... Bonne lecture, et surtout, surtout, surtout...
Merci d'avoir été là en 2009, et une bonne, une merveilleuse année 2010!!!!
mardi 22 décembre 2009
La morale d'Astérix chez les Bretons
L'autre soir, après Astérix chez les Bretons, Souriceau réfléchit : «Papa, Obélix, il aime beaucoup beaucoup le sanglier, hein?
Papa : Oui, c'est vrai
Souriceau : Mais, là, quand il est en visite dans un autre pays, il faut qu'il apprenne à goûter à des nouveaux aliments!
lundi 21 décembre 2009
Les cadeaux des professeurs
Mise en situation :
Cette année, pas question de me faire prendre à la dernière minute pour les cadeaux des professeurs et des éducatrices du service de garde et de la garderie : j'ai tout acheté à la mi-novembre en me félicitant de ma prévoyance.
Donc, je me suis sentie vraiment imparfaite quand...
Vendredi soir, en revenant du travail, je passe d'abord à la garderie, pour assister à la fête de Noël qui se termine, puis à l'école des plus vieux, qui sont tout énervés de commencer leur vacances.
Et quand je reviens à la maison, à quoi je pense tout à coup? Que les quatre cadeaux que j'ai soigneusement acheté à l'avance sont bien au frais au fond de mon garde-robe...
M****!
Bon, mais là, je suis officiellement entrée dans le temps des fêtes : on a fait le sapin dimanche matin (et j'ai ramassé un dégât de boules de Noël cassées par un chien qui a été pris d'un élan irrépressible de sauter dans les boîtes innocemment dispersées sur le fauteuil du salon), et j'ai eu moi aussi mon premier pincement sentimentalo-nostalgique du temps de fêtes ce matin : me semble que j'aurais aimé ça me lever dans une maison impeccable et siroter tranquillement mon café avec des chants grégoriens en arrière-fond sonore...
Suis mieux d'oublier ça : L'Apprenti Père Noël commence à 7 h tous les matins à Télé Québec, et il est très populaire auprès des enfants...
jeudi 17 décembre 2009
Noël et nostalgie
Souriceau : «On n'est plus dans le temps d'autrefois comme quand t'étais petite, maman!
(ben oui, les années 80, c'était au siècle passé)
L'Ingénieur : Ouais! Pis on n'est plus dans le temps des esclaves : les enfants ont le droit de décider des choses, maintenant!
(enfants et esclaves, même combat)
Maman : On va faire le sapin en fin de semaine. Avant, Maman et papa travaillent tous les jours et on n'a pas le temps.
L'Ingénieur : Hooo! C'est pas juste! On n'aura même pas le temps d'en profiter! Pis c'est tellement confortable, se coucher au pieds du sapin : j'aimais tellement ça dormir là quand j'étais petit!
(Est-ce que je me trompe, où l'Ingénieur n'est pas en train de magnifier lui aussi le «bon vieux temps»? )
Les traditions ont peut-être la vie dure, mais je vous le dit, elles prennent racine facilement!
lundi 14 décembre 2009
Gagnante du concours de rimes
Le tirage a eu lieu hier soir, et c'est Marie qui a gagné! Bravo Marie, ton certificat t'attend à la boutique!
samedi 12 décembre 2009
Top 10 des cadeaux pour bébé de 3 mois à 1 an
Voici le top 10 des produits les plus populaires chez Rikiki, pour tous les budgets!
10- Gel de bain Douce Mousse
9 - Sophie la girafe
8 - Souliers à semelles souples Robeez
7- Toutou Pacimals
6- Baby legs
5 -Siège Bumbo
4-Pochette de transport pour suce Skip Hop
3- Gigoteuse Grobag
2 - Couverture de Mousseline Aden et Anais
1 - Mobile
Vous avez d'autres suggestions?
mercredi 9 décembre 2009
Un bon vieux chocolat
Ça nous est arrivé cette année.
Première constation
Le chocolat n'est manifestement plus bon (on s'en serait douté). Déjà que ce n'était pas de la grande gastronomie lorsqu'il était «frais», un an plus tard, avec les filaments blancs qui s'y sont greffés, je vous jure qu'on n'a pas du tout envie d'y goûter.
Deuxième constatation
Si, pour cause de poubelle pleine, on dépose le calendrier périmé sur le dessus de frigo avec l'intention de le jeter un peu plus tard, (lorsque quelqu'un d'autre aura vidé la poubelle), il y a de fortes chances qu'on l'oublie là.
Troisième constatation
Les enfants sont débrouillards et ont de la suite dans les idées.
Tout ça pour dire que Souriceau et Douce se sont fait une merveilleuse collation de vieux chocolat cet après-midi pendant que leurs parents faisaient autre chose que de les surveiller de près comme ils auraient dû.
Les commentaires des enfants recueillis à la suite de leur festin :
Douce : «Ça mastiquait très bon!
Souriceau : Comme le chocolat n'était plus bon, on l'a mangé au complet».
Logique.
Avant de terminer, je vous rappelle notre petit concours de rimes avec Rikiki, et le certificat cadeau de 50$ à gagner! Vous avez jusqu'au 12 décembre. Jetez donc un coup d'oeil à ce que les participants ont déjà proposé, il y a de fort jolis vers : )
lundi 7 décembre 2009
Que sont les garnements devenus?
Mamam : «Qu'est-ce que tu as fait?
Ingénieur : Ben rien.
Maman : Rien comme quoi?
Ingénieur : avec mes amis on a joué à la bataille à la récré.
Maman : joué comment?
Ingénieur : ben comme à la bataille. (c'est tividen, comme dirait l'autre)
Maman : Qu'est-ce que tu as fait? Tu as donné des coups de poings? Tu as fait mal à un ami? As-tu utilisé ton karaté?
Ingénieur : On faisait juste se donner des coups de poings. Mais pas fort. Personne ne s'est fait mal.
Maman : Et pourquoi toi tu as eu un billet de mauvaise conduite?
Ingénieur : Les autres aussi en ont eu un!
Maman : ah oui? Est-ce que c'est parce que vous n'avez pas arrêté quand le surveillant vous a avertis?
Ingénieur : Il y avait une surveillante que ça dérangeait, et l'autre non. Mais finalement, celle que ça dérangeait nous a donné un billet.
Maman (qui ne sais pas trop comment commenter) : Hum!
Ingénieur : Je te garantis que ça n'arrivera plus!
Maman : Bon, va-s-en paix, fils. Je te pardonne.»
L'Ingénieur a ramassé son assiette et a terminé de vider le lave-vaisselle. Alors que je teminais de nettoyer la table en m'apprêtant à lui demander de passer la balayeuse dans toute la maison, il m'est revenu comme des relents d'un discours qui refait surface de temps à autres, voulant que l'école primaire soit un peu moumoune pour les p'tits gars.
Ça se pourrait p'têtre bien, que je me dis. Vous en pensez quoi?
vendredi 4 décembre 2009
Le temps des fêtes rime avec Rikiki
Un p'tit concours, mais qui va vous demander un peu plus de travail que la dernière fois. S'inscrire sur le blogue, c'était vraiment trop facile : cette fois, je vais vour faire travailler un peu plus. En contrepartie, le prix est encore plus alléchant : 50$ en certificat-cadeau échangeable chez Rikiki!
Tentant, n'est-ce pas? Bon, je vous dis comment vous y mettre : c'est facile, il faut faire jouer votre créativité... en me trouvant des rimes avec Rikiki!
Et quand elles sont trouvées, vous les laissez dans les commentaires de ce messages, ou sur la page Facebook de Rikiki jusqu'au 12 décembre à 18 heures. On va s'amuser!!!
Je termine avec quelques règlements de mon crû :
- Le gagnant est choisi au hasard parmi tous les participants;
- Chaque rime donne droit à une participation;
- Chaque rime ne peut être laissée qu'une seule fois. En cas de doublon, le premier à l'avoir laissée en a le crédit. Par contre, on peut faire rimer Rikiki avec le même mot, à condition que tous les mots de la rime ne soient pas semblables;
- Un palmarès des meilleures rimes sera établi, et nos préférées pourront valoir des surprises aux poètes en herbe qui les auront forgées...
Ah, oui, tâchez de bien vous identifier lorsque vous laissez un message afin que je puisse vous retracer si vous gagnez : 0
Et une petite précision aux amis qui habitez loin de Québec : profitez quand même de l'occasion, le certificat-cadeau sera aussi échangeable sur notre site internet!
jeudi 3 décembre 2009
De la crème de mamelons aux mains d'un mécanicien
C'est que ce mécanicien ne jurait que par ce produit pour soigner ses mains gercées :
- Naturel;
- Sans odeur;
- Efficace
Que demander de mieux?
Yves lui a vendu la crème de mamelons Substance, de Matter co.
Un produit qui fait la job, comme on dit!
N'empêche, que j'aurais bien aimé être un p'tit oiseau pour entendre cette virile discussion..
dimanche 29 novembre 2009
Au clair de la lune...
Douce se couche donc, et j'entonne Au clair de la lune :
Au clair de la lune
J'ai pété dans ... heu! non, on recommence
(Mais comment j'ai pu sortir ça? Douce ne s'est rendue compte de rien, ouf. Bon, je me concentre)
Au clair de la lune
J'ai pét...ammmi Pierroooot
(Encore! C'est complètement involontaire; j'ai ça dans mon inconscient, moi??? Ne pas rire, essayons de rester sérieuse)
Ça faisait des bbbbuuuulllles
Au moment où Douce s'est retournée et m'a regardée avec ses yeux interrogateurs, j'ai craqué et je me suis effondrée dans un fou rire hystérique.
Yves m'a regardé lui aussi avec un drôle d'air quand je suis sortie de la chambre en pleurant de rire.
Et là, je ris encore.
C'est dûr sur les nerfs, un retour au travail...
samedi 28 novembre 2009
Les colliers de Béka
vendredi 27 novembre 2009
Un matin comme tant d'autres
Soudain, des bruits viennent troubler le silence : Douce et Souriceau sont réveillées, et s’installent pour jouer à quelques pas de la chambre.
Souriceau : «Toi tu as les dinosaures. Moi, ma famille, c’est les singes et les lions.
Douce : La maman dinosaure est fâchée parce que le bébé a dit des mots pas polis.
Maman (un peu réveillée, mais qui espère encore profiter de sa demi-heure de sommeil) : Moins fort, les filles, on dort! Parlez en secret.
Souriceau, très bas : C’est quoi, les mots pas polis? Est-ce que c’est tab*rn*k?
Douce, qui chuchote : Oui, c’est tab*rn*k.
Maman retient un sourire dans son demi-sommeil (avec tous les enfants qu’elle a eu, elle sait qu’il vaut mieux ne pas réagir quand les enfants explorent l’univers des «mauvais mots»)
Souriceau : Le bébé singe aussi il a dit tab*rn*k. Il est en punition avec ton dinosaure.
Douce, convaincue : Leurs mamans sont pas contentes!
Souriceau, qui ne lâche pas le morceau : Mais les bébés, ils aiment ça dire tab*rn*k. Écoute, c’est drôle : Tab*rn*k!
Douce, qui pouffe de rire : hihihi, tab*rn*k!
Puis, toute les deux en choeur : TAB*RN*K! TAB*RN*K! TAB*RN*K! TAB****RN*****K!!!!
Maman, irrémédiablement réveillée, s’apprête à mettre un holà énergique au délire matinal de ses filles, quand, trop tard, Bébé M se met de la partie : Ouainnnnnn! Ouainnnnnn!»
Évidemment, se faire réveiller par un concert de tab*rn*k, ça ne prédispose pas à la bonne humeur…
Et ça vaut pour les parents aussi. Mais, je vous rassure tout de suite, même si ça nous a passé par la tête, on ne l’a pas dit, nous, le mot pas poli...
mardi 24 novembre 2009
Grande promo pour les lecteurs de ce blogue
Achetez à loisir les cadeaux pour les tout-petits, les mamans de votre connaissance ou faites-vous plaisir tout en économisant!
Des idées de cadeaux :

- Chandails de maternité BBboom (image à droite : ils sont trop cutes!
- Robeez, Booties ou Baby legs;
- Couche lavable «Signature» de Omaïki*;
- Sophie la girafe;
- Toutou-suce Pacimal;
- Siège Bumbo;
- Rehausseur de chaise «Kaboost»;
- Chandail d'allaitement Momzelle;
- Livres rigolos sur la maternité, comme les Chroniques d'une mère indigne, ou Les joies de la maternité (poil au nez);
- Set de vaisselle pour enfants Skip Hop;
- Et puis venez donc faire le tour du site, on a plein de trucs!
Quel mot de passe?
Eh bien, il faudra le trouver... Mais, je vous rassure, c'est facile, juste une petite charade à résoudre... (hahaha, je m'amuse, c'est fou).
Ça va comme suit :
- Mon premier sert à payer un bien que l'on acquiert, et il peut être «noir», ou «neuf»;
- Mon deuxième est une céréales dont la culture requiert beaucoup d'eau;
- Mon troisième n'est pas très intelligent
- Mon tout, c'est le surnom que je donne à une de mes filles sur ce blogue.
Bonne chance!
P.S. : La promotion est aussi valide sur internet. Il suffit de rentrer le mot de passe dans l'espace identifié «promotion» au moment de passer à la caisse!
******Ajout******
*Précisions et exclusions
Cette promotion ne peut être jumelée avec les autres promotions déjà existantes. De plus, cette promotion s'applique à tous les articles en magasin, à l'exception des couches Omaïki et des couches AMP, pour lesquelles le rabais est de 10% sur un minimum d'achat de 18 couches.
lundi 23 novembre 2009
Les berceuses
Par hasard, je viens de tomber sur cette conférence d'Élizabeth Flusser (une pianiste qui s'intéresse aux sciences de l'éducation), qui s'interroge sur la berceuse et son importance dans les relations du bébé avec son environnement, à travers quatre dimensions : le rythme, la mémoire, la culture et le temps.
À propos de la mémoire :
Je reconnais bien là le besoin de ma Douce que je lui chante toujours les mêmes berceuses, et toujours dans le même ordre. C'est l'intuition qui m'avait fait adopter ce principe, et l'expérience m'en a démontré la validité : quand un enfant s'endort, c'est toujours une réussite... : )C’est cette possibilité de mémoriser la berceuse
qui la rend calmante. Grâce à la simplicité de sa
structure, dès la seconde audition, l’enfant connaît
le chant. Or ce qu’il mémorise, ce sont bien sûr les
notes, la musique, la voix mais aussi les sensations,
les situations qui y ont été liées dès la première audition.(...)...plus l’enfant connaît la berceuse,
plus il anticipe juste, moins le futur est incertain,
moins le futur est porteur d’angoisses.
samedi 21 novembre 2009
Choix de réponse
«Ahhhhrrrgggggg! Arrête! Arrête! Maaaamaaaaan! L'Ingénieur arrête pas de briser notre cabane!», me crient Douce et Souriceau d'une même voix.
L'Ingénieur, qui n'en manque pas une d'embêter ses soeurs, est prié de venir s'asseoir avec moi pour une sérieuse discussion : «Ingénieur, que se passe-t-il? Tu ne peux pas lâcher les filles, une minute? Ça fait plusieurs fois que tu te fais punir à ce sujet, et je ne comprends pas pourquoi tu continues à chercher les problèmes. Je suis sûre qu'elles seraient très contentes de jouer avec toi si tu t'intégrais un peu mieux à leur jeu...
L'Ingénieur, penaud : Je sais, maman. Je suis désolé. Je sais pas pourquoi je fais ça.
Maman, sévère : Tu me réponds la même chose à chaque fois.
L'Ingénieur, qui s'anime un peu : Ben, je le sais un peu pourquoi : je fais juste essayer de les faire crier, pour voir, et ça marche à chaque fois. C'est comme peser sur un bouton. C'est trop drôle! Même si je le sais, que tu vas me chicaner, je ne peux pas m'en empêcher!»
Question : comment suis-je supposée répondre à cette belle démonstration de franchise?
A - Punition à l'Ingénieur pour «sabotage de l'harmonie familiale avec intention de causer une pollution sonore»;
B - Punition aux filles pour «pollution sonore abusive»;
C - Rire un bon coup avec l'Ingénieur et lui demander de modérer ses expériences sur les stimuli déclanchant une réponse vocale chez ses puînées;
D - Me mettre à crier de ma voix la plus aiguë : «Yyyyvvvves! Les enfants arrêtent pas de criiiierrr! Je suis taaaaanéeee! On ne s'entend plus paaaaaaaarleeeeeeeer! (idéalement dans les oreilles de l'Ingénieur).»
vendredi 20 novembre 2009
Dressage 2
Je m'active dans la cuisine, et Bébé M chigne parce qu'elle a faim. Je l'asseois dans sa chaise-haute, et propose à Douce de lui donner des miettes de pain pour la faire patienter pendant que je termine le repas.
Toute contente, Douce prend une tranche de pain et commence la distribution :
«Ouvre la bouche, Bébé M. Oui, comme ça, bravo! (et une miette de pain dans la bouche de Bébé M) Maintenant, lève un bras. Non, j'ai dit lève un bras. Ah, tu lèves pas le bras? Pas de pain pour toi.»
Et hop, la tranche de pain disparaît dans la bouche de ma Douce...
Hum!
jeudi 19 novembre 2009
Merci, Imparfaite et alors? !
C'est d'abord un blogue, tenu par Anik et Julie, deux mamans (de chacune trois enfants) qui nous partagent leurs trucs pour se faciliter la vie et être épanouie dans (et parfois malgré) leur maternité.
Mais c'est maintenant aussi un livre. Mais attention, un livre spécial, dans le sens de «pas comme les autres livres sur la maternité».
Spécial, d'abord, parce qu'on peut le lire dans le désordre, et choisir les chapitres qui nous intéressent. Par exemple, actuellement, je suis immobilisée aux chapitres 8 et 10, qui traitent du ménage et d'organisation; depuis que Yves et moi sommes en désavantage numérique dans la maison, on a comme qui dirait de la difficulté à nous imposer dans les mises en échec face au désordre...
Ça tombe bien : Anik et Julie donnent des tas de trucs pour nous aider à ce sujet, avec une touche d'humour en plus. J'en connaissais déjà, des trucs, elles ne sont pas les premières à en donner, mais, franchement, je trouve qu'ils sont tellement bien présentés que, pour une fois, j'ai envie de les mettre en pratique.

Et leur livre est spécial, aussi, parce qu'on peut gribouiller dedans, et que c'est même conseillé. Je fais des listes, j'encercle ce qui m'apparaît le plus important, j'écris des idées, bref, je me sers de mon livre comme d'un carnet. Et, depuis presqu'un semaine que je m'y suis mise, on dirait que le ménage s'organise déjà un peu mieux...
Merci, Imparfaite et alors!
Note : on en a plusieurs exemplaires chez Rikiki : )
mercredi 18 novembre 2009
Campagne Bien grandir
Cette campagne s'adresse essentiellement aux parents d'enfants de 0 à 5 ans pour les sensibiliser au rôle crucial qu'ils jouent auprès d'eux, afin de les inciter à offrir aux tout-petits un environnement riche en expériences positives de toutes sortes, dans l'objectif de permettre aux jeunes enfants de développer leur plein potentiel et de favoriser leur réussite scolaire par la suite.
Nous, parents, sommes déjà convaincus de l'importance de notre rôle auprès de nos enfants, mais j'aime bien qu'une campagne (positive) comme celle-là vienne nous encourager en le disant haut et fort. Et en plus, j'aime beaucoup l'un des moyens proposés pour afficher notre appui : des jolies bannières à insérer sur les blogues et sites internet, comme celle que vous trouverez désormais dans la colonne de droite de l'Arrière-boutique.

lundi 16 novembre 2009
Dressage
Douce : «Assis Bella! Bravo! Assis encore, bien! T'es bonne Bella, tiens! Assis! Assis! Braaavo!»
Bizzare, que je me dis... Je m'approche et j'aperçois Douce, juchée sur un tabouret, qui a réussi à attraper le sac de gâteries à chien et qui lui en garroche des poignées pour chaque commandement réussi. Et la chienne, pas si bête, a compris dans quelle manne elle était tombée : elle obéit, et avec enthousiasme, en plus.
***
Au tour de Souriceau de jouer avec le cabot.
Souriceau (en tirant la chienne par les deux pattes d'en avant) : «Bella, donne la patte, donne la patte, donne la patte! Oui, bravo!»
Cette fois, pas de cadeau, c'est la manière forte qui prévaut. Il semble qu'on n'ait pas une mauvais chienne, puisqu'elle obéit à ça aussi.
Un peu plus tard :
Souriceau : «Bella, donne la queue! Donne la queue! Arrrgh, tu vas me la donner ta queue!!!»
Bella s'est sauvée. C'est bon pour les chiens aussi d'établir leurs limites.
vendredi 13 novembre 2009
Bilan du jour 2
Le système de caisse n'est pas encore fonctionnel. Il nous manque une imprimante thermique : le technicien a fait deux fois l'aller-retour entre la boutique et InfoClic pour finalement conclure qu'on ne nous avait pas commandé le bon modèle et que celui qu'il nous faut n'est pas en stock. On espère régler ça la semaine prochaine, ça presse!
On a fait plusieurs ventes, et pas seulement à nos amis; on a aussi eu des «vrais» clients! (grand rire, ici)
J'ai aussi reçu de nouveaux produits, dont ce jouet artisanal conçu par une maman qui a eu une idée brillant

Au fait, Geneviève commence à manquer d'étiquettes pour confectionner ses toutous, et elle lance un appel à la nation pour lui en fournir. Il y a déjà Momzelle qui a répondu à son cri, et j'annonce que Rikiki se fera plaisir de récolter celles qu'on voudra bien nous laisser!
mercredi 11 novembre 2009
Et la gagnante est...
Le tirage s'est effectué dans les règles : l'Ingénieur a inspecté chaque coupon, puis les a recompté pour s'assurer qu'ils étaient tous dans le plat de plastique rose que j'avais réquisitionné pour l'occasion. Et il a pigé en se fermant les yeux, même s'il aurait pu regarder puisque chaque coupon avait été plié en quatre pour être certain que personne ne verrait ce qui était écrit dessus...
Bravo Julie!
Pour recevoir ton prix, contacte-moi à info@rikiki.ca. Dans ton message, donne-moi aussi un mot de passe que tu écriras ensuite dans les commentaires du blogue, comme ça, je serai certaine que c'est bien toi (ben quoi, on fait ça sérieusement ou on ne le fait pas)!
Merci à vous tous qui vous êtes inscrits. On ouvre demain!!! Vous êtes tous les bienvenus!!!
mardi 10 novembre 2009
On joue au magasin!
Et, bien sûr, les enfants s'amusent comme des petits fous. Je leur fais des feuilles d'étiquettes, qu'ils collent avec enthousiasme, presque sans erreur. Et Général Souriceau, tout en s'assurant que Douce pose ses étiquettes à l'endroit, prépare la suite des activités : après le collage, il y aura une période de jeu avec quelques produits plus amusants, puis on se trouvera un panier à remplir pour passer à la caisse... Comme dans la vraie vie! Y'a pas à dire, même l'Ingénieur, qui n'était pas très chaud à l'idée d'être le fils du propriétaire de la boutique, se montre très intéressé par tout ce qui s'y passe.
Tout ça pour dire que ça se place, et qu'on devrait être prêts pour jeudi. En attendant, dernière chance pour le concours...
Je vous reviens au plus tard demain soir avec le nom du ou de la gagnante...
lundi 9 novembre 2009
Le nirvana
Et pourtant, parfois, ça se passe bien. Comme ce soir.
Il est 18h30, et Bébé M fait déjà dodo (complètement épuisée).
Douce qui n'a pas fait de sieste aujourd'hui est elle aussi fatiguée; je tente ma chance en lui disant qu'il est l'heure d'aller au lit.
Elle se couche en rechignant; moi, magnanime, je lui propose une berceuse pour la consoler.
Elle en aura eu finalement quatre :
- Ô clair de la lune;
- Ballade à la lune;
- Dessous ma fenêtre;
- À la claire-fontaine.
Quand je me lève, elle dort comme un bébé.
Endormir les enfants avec une berceuse, pour moi, c'est presque le nivana de l'expérience maternelle : quand ça m'arrive, j'en ai pour la soirée à flotter dans un sentiment de bien-être.
samedi 7 novembre 2009
Viens voir Maman, mon p'tit chien!
Je m'appelle Maman quand je parle au chien, comme dans : «Bella, Maman a dit non!»
C'est que, avec les quatre enfants, je suis passablement mêlée dans les prénoms : j'appelle l'Ingénieur par le nom de son oncle, et les filles par celui des leurs tantes, quand je ne les mélange pas tout simplement entre elles. Et quand je suis énervée, c'est encore pire. Mais au moins, pour ce qui est de ma propre personne, il y a une stabilité : c'est toujours Maman qui parle.
Au début, avec le chien, j'ai bien essayé le «Bella! Valérie a dit non!», mais ça a vite dérapé quand je me suis mise à mélanger les avertissements du chien avec ceux des enfants. Il y a eu bien sûr quelques envolées dans le style : «Douce, Valérie ne veux pas que tu fasses ça», qui sonnait un peu bizzare, mais quand ça s'est mis à glisser vers le «Valérie! Heu, non, Souriceau, ne fais pas ça!», je me suis dit que ça devenait dangeureux.
Pour simplifier nos relations familiales et pour m'éviter des épisodes de confusion gênants, il a donc été décrété je serais «Maman» pour toute personne plus jeune que moi dans la maison, y compris le chien.
Ce décret a eu les conséquences collatérales auxquelles on pouvait s'attendre : lorsque Bella agace les filles, elle se fait désormais servir un «Belle, laisse tes soeurs tranquilles!». Elle comprend généralement le message, et les «soeurs» en question ne sont pas insultées.
Et, de toute façon, avec le travail que me donne ce chien, je crois que j'ai le droit de le compter comme un cinquième enfant...
jeudi 5 novembre 2009
La boutique en ligne
Vous pouvez maintenant accéder à la boutique en ligne! Vous n'avez qu'à cliquer sur le lien que j'ai mis à votre disposition dans la section droite du blogue. Si vous préférez vous y rendre par vos propres moyens, voici l'adresse : www.rikiki.ca
Tous nos produits ne sont pas encore en ligne -entrer un inventaire, c'est long! Mais je considère que la sélection disponible actuellement est tout de même respectable...
Au plaisir d'avoir vos commentaires!
mercredi 4 novembre 2009
L'emballage
Pour ma part, le choix des fameux sacs n'a pas été un exercice facile, car il n'y a pas de solution qui allie parfaitement les trois caractéristiques recherchées, à savoir, un emballage écologique, esthétique et à prix raisonnable.
Comme j'ai vite constaté que les sacs les plus beaux sont généralement les plus chers, et souvent les moins écologiques, je me suis concentrée sur la partie «écologique» de l'équation, en me disant qu'on travaillerait l'aspect esthétique par la suite. Quant à la question financière, je la gardais toujours à l'esprit, étant de nature plutôt pragmatique.
Première constatation : il y a une différence entre la perception qu'on a de la nature «écologique» d'un sac, et la réalité. Par exemple, la représentante m'expliquait, études à l'appuie, qu'à l'analyse des cycles de vie d'un sac de papier et d'un sac de plastique, on conclut que le premier est beaucoup plus polluant, parce qu'il nécessite plus de matière pour être fabriqué, et parce que son procédé de fabrication est responsable du rejet dans l'environnement de substances toxiques produites par les usines de pâtes et papier. Le fait qu'il soit recyclable est un avantage qui ne compense pas les inconvénients. Par contre, si on choisit des sacs de papier entièrement recyclés (100%) et de couleur naturelle, on diminue l'impact environnemental, sans toutefois le gommer complètement. Cela dit, le sac de plastique traditionnel n'est pas particulièrement vert non plus, compte tenu des procédés d'extraction du pétrole qui entre dans sa fabrication.
Les sacs de plastique biodégradables, alors? Pas la panacée. D'abord parce que ces sacs se biodégradent à la lumière; s'ils sont enfouis dans des dépotoires, leur temps de décomposition augmente considérablement. Et là, je ne parle pas du fait qu'à Québec, on incinère les déchets, et que la durée du trajet en camion de vidanges n'est pas suffisante pour achever le processus de biodégradation. De plus, si par mégarde on envoie des sacs de plastique biodégradables au recyclage et qu'ils sont effectivement recyclés, la qualité des produits résultant de ce recyclage sera affectée de manière assez dramatique. En théorie, donc, le sac biodégradable seraient plus écologiques, mais dans les faits, on peut en douter.
Reste les sacs réutilisables. La plupart de ces sacs -principalement ceux en fibre de platique comme ceux qu'on retrouve dans les épiceries, s'ils ne sont pas fabriqués en Chine, y sont généralement imprimés. À lui seul, le transport annule tous les gains écologiques qu'on pourrait faire en les utilisant. De plus, la matière nécessaire pour fabriquer ces sacs est très importante, peut-être un peu trop pour leur durée de vie : c'est qu'ils ne restent pas en parfait état des années durant, et, compte tenu de l'abondance d'offre sur le marché, les consommateurs peuvent être portés à les remplacer souvent.
Bref, ce qu'il y a de plus écologique, c'est «pas de sac pantoute». Mais ce n'est pas très réaliste dans le contexte actuel d'un commerce de détail. Y'a la SAQ qui l'a fait, d'accord, mais on se rappelle qu'elle est en situation de monopole, et qu'elle a dépensé une jolie somme d'argent pour faire connaître sa nouvelle politique à ses clients. Enfin, j'aurais peut-être pu faire ce choix, mais je ne l'ai pas fait.
Tout ça pour dire que j'ai cogité beaucoup avant de choisir mes sacs. Je pourrais vous donner leur numéro, pour que vous les trouviez dans le catalogue, mais j'ai pas envie. Ce sera mon petit secret pour encore une semaine. Après, vous viendrez voir.
mardi 3 novembre 2009
La grande prêtresse des couches lavables
Par contre, je suis une convertie : à force d'entendre dire à quel point elles étaient devenues faciles d'utilisation (et d'entretien), j'ai voulu les essayer pour la petite dernière, et j'ai été happée par le mouvement. Au point où, moi qui déteste plier le linge, lorsqu'il s'agit des couches de ma poupoune, ça ne me dérange plus du tout, même que je trouve ça zen. C'est une réaction un peu bizzare, que je ne peux expliquer, bien que je sache que je la partage avec plusieurs maman, dont Grande Dame.
Je ne peux donc pas donner l'Argument qui a favorisé ma conversion vers les couches lavables (l'écologie a joué un rôle, mais il y a autre chose). Comme les enfants, j'ai envie de dire : j'aime ça, c'est tout. Mais vos arguments m'intéressent, ainsi que les raisons de ceux qui n'ont pas choisi cette option.
Je pars le bal avec l'argument de mon chum, auquel je n'aurais jamais pensé. Vous allez voir, c'est très «gars» :
«Le lavage des couches, y'a rien là. Même que ça diminue le travail : il y a moins de vidange à sortir!»
lundi 2 novembre 2009
Incitatif pour le concours
Ça donne le goût, pas vrai?
L'art de l'esquive
Maman : (non, mais c'est donc cute!) Ton amoureux? (Essayons d'en savoir un peu plus) Il est gentil avec toi?
Souriceau : Pis j'ai pas aimé ça le macaroni pour dîner. J'veux plus que tu me fasses ça.»
Raté! C'est classique : elle change de sujet dès qu'une question l'embête un peu. Je ne saurai rien de plus, c'est certain.
Toute la semaine, j'ai lancé quelques perches subtiles pour tenter de ramener le sujet des amoureux, mais, silence radio, le poisson n'a pas mordu. Mais voilà qu'hier, lueur, une occasion se présente pendant que je me brosse les dents après souper :
Souriceau, tenant précieusement un sou noir dans sa main : «C'est mon souvenir de Guillaume, je m'ennuie de luiiii...
Maman (Bon, il s'agit de jouer serré, surtout ne pas lâcher la brosse à dents) : Ah oui? Guillaume ton amoureux?
Souriceau : Ben oui, tu le sais déjà.
Maman (Tout n'est peut-être pas perdu, elle n'a pas changé de sujet. Je continue de brosser mes dents, innocemment, et me creuse la tête pour trouver une question intelligente) : Heu, et vous faites quoi, en amoureux?
Souriceau : Peuh! On s'embrasse même pas! C'est pas comme avec Johan*!
Maman (Hein? Elle n'est pas un peu trop dégourdie, pour ses cinq ans? Continuer à se brosser les dents, coûte que coûte) : Ah? Tu en as beaucoup des amoureux?
Souriceau : Humm. Non, un c'est assez : je suis assez occupée juste avec Guillaume. Pis à part ça, j'aime pas ça quand tu mets du jus de tomates avec mon sandwich. Demain, j'aimerais mieux du jus de pommes.
Maman (Y'en aura pas de facile) : Oui, bien sûr, du jus de pommes.»
*J'ai changé les noms, pour préserver le peu d'intimité que je laisse à ma fille en racontant ça à tout le monde... : )
samedi 31 octobre 2009
Rencontre de mi-session de... natation
Souriceau était déjà prête. Tristounette que je ne sois pas arrivée à temps, elle s'était habillée toute seule dans le vestiaire et m'attendait.
Mes réactions :
1. Me sentir coupable, et cheap, bien entendu;
2. Rejeter au plus vite la faute sur quelqu'un d'autre (genre, c'est pas un peu exagéré une rencontre de mi-session en natation?);
3. Consoler Souriceau de mon mieux, lui promettre de parler à sa monitrice au prochain cours, et lui donner sa collation;
4. Commencer à trouver que l'Ingénieur prend du temps à se changer et, en regardant sur le bord de la piscine par la vitrine, me rendre compte qu'il m'attend à côté de son moniteur;
5. Me précipiter sur le bord de la piscine pour me faire dire par le moniteur : «Ça va très bien avec l'Ingénieur, mais il a de la difficulté avec ses fusées sur le dos. Il faut qu'il apprenne à sortir son ventre pour ne pas caler.»
6. Reprendre mon souffle.
Au retour :
Maman à l'Ingénieur : «À soir, tu profiteras de ton bain pour pratiquer tes fusées sur le dos. Et pourquoi pas tes pongeons par la même occasion...
L'Ingénieur : Oh! Maman, t'es pas drôle!»
La Souris verte - la pharmacie des tout-petits



jeudi 29 octobre 2009
De l'évolution et des insultes
Douce : «Non, je te'l donne pas!
Souriceau, folle de rage : Arrhhh! Espèce!
Douce (pleurant) : Mamaaaaaaan! Souriceau m'a traitée d'espèce.... Snif, snif...»
Houla! Les enfants ont parfois des éclairs de génie dans bien des domaines, en l'occurence celui de l'insulte efficace. Qu'on ne s'y trompe pas, Douce, toute petite soit-elle, comprend qu'en la traitant d'«espèce», Souriceau sous-entend qu'elle appartient à une espèce différente de la sienne. En fait, c'est exactement le même type de sous-entendu que dans le cas où Jo-Blo accuse son voisin d'être «une race».
Sauf que, vous en conviendrai avec moi, dans le cas d'«espèce», la portée est beaucoup plus large : se faire traiter de noir, de caucasien ou d'asiatique est bien insignifiant à côté de babouin, coquerelles, lombric ou que sais-je d'autre...
mardi 27 octobre 2009
Le décompte... et un concours!
Et d'ici là, branle-bas de combat : commandes à finaliser, travaux à terminer (reste les tablettes à poser et certains meubles à trouver), et... concours à organiser!
Ben oui! On va mettre un peu de piquant dans l'affaire. Alors, voilà ma petite idée de concours :
D'abord, le prix (pour stimuler l'intérêt) :

J'ai reçu mes copies ce matin, et, j'avoue, je triche, j'ai déjà dévoré mon exemplaire! Je promets à la personne chanceuse qui va gagner celui que je lui réserve un bon moment de franche rigolade...
Mais, justement, comment gagner ce prix alléchant?
Facile! Il suffit de vous abonner à mon blogue. Pour cela, vous cliquez sur «devenir membre», et, si vous n'en avez pas, vous pouvez vous créer un profil blogger, tout simple, même pas besoins de mettre votre photo. Vous avez jusqu'au 10 novembre 17 heures pour vous inscrire.
Le tirage, supervisé par L'ingénieur en personne, se fera le 10 novembre à 19 heures. Bonne chance!
dimanche 25 octobre 2009
Leçon de logique
Maman : Deux ans.
Douce : Non! Quand j'avais deux ans, j'avais QUEL âge?
Maman : Deux ans, ma Douce.
Douce, qui, mine de rien, commence à s'énerver : NOOON! QUAND J'AVAIS DEUX ANS, J'AVAIS QUEL ÂGE?
Maman, un modèle de calme malgré la situation qui se corse : Ben, quand tu étais un bébé, tu avais 1 an, après tu as eu deux ans, et maintenant tu as trois ans. Avant trois ans, tu avais deux ans. Est-ce que tu comprends?
Douce : oui
...
Douce : Maman, quand j'avais deux ans, j'avais quel âge?
Maman : Quand tu avais deux ans, tu avais deux ans.
Douce : Ah! Quand j'avais deux ans, j'avais deux ans! Papa! Papa! Quand j'avais deux ans, j'avais deux ans!»
Et voilà! A=A, le fondement logique par excellence. L'esprit des enfants, en ébullition permanente, est toujours séduit par l'élégance et le raffinement des concepts tordus comme la logique (dommage que cette inclination se perde en vieillissant). Ma résolution : toujours garder cette idée à l'esprit désormais.
Douce : «Maman?
Maman : Oui?
Douce : Quand j'avais quatre ans, j'avais quel âge?»
Argh!
vendredi 23 octobre 2009
Le chat Rikiki
Un chat Rikiki à colorier!
Avouez que c'est mignon!
mardi 20 octobre 2009
L'hygiène au temps du H1N1
Papa : Souriceau! Tes mains! Va les laver à la salle de bain.
Souriceau : Pas besoin!
...
Souriceau : J'les liche à la place!
lundi 19 octobre 2009
La centrifugeuse
En fait, Douce a reçu sa petite soeur comme un cadeau : c'était son bébé. Elle m'aidait à changer sa couche, m'apportait son linge, lui chantait des chansons, etc. Mignon, mignon...
Et plus le bébé vieillissait, plus Douce trouvait des choses à faire avec elle... sans moi. Je ne compte plus les fois où je l'ai surprise à «changer sa couche» - le beau dégât!, ou à déplacer sa soeur d'une pièce à l'autre en la tirant sous les bras. Ni les fois, plus inquiétantes, où je suis arrivée juste au moment où Douce faisait grimper Bébé M sur un divan ou sur un lit... À chaque fois, elle est punie, c'est-à-dire qu'elle est placée en retrait durant trois minutes, avec un sermon en prime. Mais ça ne règle pas le problème. Douce sait qu'elle ne peut pas prendre sa soeur. Elle le sait, mais elle ne le comprend pas : du haut de ses trois ans, elle est convaincue, je veux dire, intimement convaincue, qu'elle a toutes les qualifications requises pour s'occuper d'un bébé. Comment pourrait-elle faire quelque chose de mal, alors qu'elle est animée des meilleures intentions?
Si on ajoute à ce portrait que plus elle grandit, plus Bébé M apprécie les initiatives de sa grande soeur, je crains qu'on n'ait pas fini de les surveiller, ces deux-là. Leur dernier coup :
Un soir, je fais la vaisselle, et j'entends Bébé M hurler de rire au salon. Je me précipite, parce que, tout joyeux soit-il, un pareil éclat est toujours louche, et je tombe sur Douce qui, tenant Bébé M contre elle, fait un tourniquet digne de la centrifugeuse d'une machine à jus.
Aussitôt qu'elle me voit apparaître, Douce dépose sa soeur, et conciliante :
«Z'va aller m'assire trois minutes.
- On dit s'asseoir.
Qu'est-ce que je pouvais ajouter d'autre?
samedi 17 octobre 2009
Le siège du conducteur
Alors, moi, je me demande pourquoi, systématiquement, ma belle Douce ne manque jamais de remarquer lorsque je m'installe au volant : «Tu t'asseois à la place de Papa?»
jeudi 15 octobre 2009
Réception de marchandises
Un siège Bumbo :

Les poupées Pella, qui ont la tête remplie de laine pour capter et conserver les odeurs familières à bébé, pour qu'il puisse les retrouver lorsqu'il s'en va de la maison...
Des filets d'allimentation Baby Safe feeder, qui permettent de donner des morceaux d'aliment à suçotter à bébé sans danger d'étouffement :

Et, tiens, un dernier truc, des attaches-suces Kula klip, qui sont délicats et légers comme tout...
Ça suffit, maintenant. Je me laisse des surprises pour les prochains jours...
mercredi 14 octobre 2009
La honte
Sauf qu'il y a un membre de la famille qui n'est pas d'accord.
À vrai dire, ce n'est pas au projet de boutique comme tel qu'il s'oppose. Non. On a plutôt affaire à un choc des valeurs : que son père ait laissé son emploi à la quincaillerie pour s'occuper d'une boutique d'accessoires pour bébés ressemble beaucoup plus à une disgrâce qu'à une promotion aux yeux de mon Ingénieur de fils...
Macho! À sept ans! Ça se peut-tu!!
Bon, il a trois soeurs dont il veut peut-être se distinguer, ça se peut. Mais ce n'est pas une excuse, non môssieur!
Bon, à son âge, les stéréotypes gars-filles sont encore très forts, c'est vrai. D'accord, mais quand même...
Heu... j'imagine que devant les amis de sa classe, ça va être gênant d'expliquer que son père est très très fort, MÊME s'il travaille dans une boutique pour bébés...
Hoooon! La honte, c'est sûr!
lundi 12 octobre 2009
Grande nouvelle
Ni non plus n'a éprouvé d'attrait pour le très beau et tout aussi écologique Green-to-grow...
Non, ce qui l'a allumée, sans doute dans un élan patriotique irrépressible, c'est ce fleuron du design québecois qu'est le biberon Playtex (un grand merci à Marie, sur ce coup). Eh oui, le modèle avec un sac de plastique qu'il faut changer chaque fois... J'ai essayé d'expliqer à Bébé M. que ce n'était pas très écologique, tous ces sacs, mais elle ne veut rien comprendre : elle peut boire assise, sans pencher la tête, et c'est tout ce qui compte.
À l'Orée du bois
On profite de la dernière fin de semaine pour aller aux pommes! Il fait plus froid à ce moment-ci de l'année, mais ce petit inconvénient est largement compensé par le fait que je trouve que les pommes de fin de saison sont plus croquantes et plus sucrées. Même si l'Ile d'Orléans est plus près de chez nous, on préfère aller à l'Orée du bois à St-Antoine-de-Tilly, d'abord parce que les pommes y sont meilleures (leurs spartan sont délicieuses, miam!), mais aussi parce que le Pont de Québec est moins encombré que le Pont de l'Ile lors des belles fins de semaine d'automne...
Aller! Mettez vos tuques pis vos beaux gants, c'est pas l'temps des pommes tout l'temps!
samedi 10 octobre 2009
Test
N'hésitez pas à commenter, ça me fait toujours plaisir de vous lire.
vendredi 9 octobre 2009
Les enfants de ma fille
Quand elle les amène à la piscine, elle s'assure de leur prendre chacun une serviette propre dans la lingerie, qu'elle étend soigneusement sur le plancher du salon (heu, le bord de la piscine).
Quand c'est l'heure du dodo, elle leur trouve à chacun un berceau, en vidant les paniers de linge du garde-robe de sa soeur (les siens n'étant pas à sa portée, pour éviter qu'elle passe son temps à les vider, justement).
Il y a aussi des journées de pique-nique, et là, ce sont les napperons et les ustensiles qui disparaissent de mes tiroirs.
Et bien entendu, il y a les soins quotidiens : les couches propres de Bébé M et ses vêtements ne restent jamais bien longtemps pliés, même lorsque j'essaie de les mettre hors de portée.
Je fais avec, en essayant de limiter les dégâts. Mais des fois, je trouve que Douce abuse un peu : elle part toute la journée à la garderie en me laissant sa marmaille à la maison qui, pas éduquée pour deux cennes, en profite pour se cacher dans les racoins les plus inprobables. Et quand c'est le temps de changer Bébé M, il faut que je joue à la cachette pour trouver une couche ou un pyjama...
dimanche 4 octobre 2009
Les bébés, ça se cultive
On n'échappera peut-être pas à Annie Brocoli plus tard, mais, pendant qu'on a le contrôle, autant se faire plaisir en redécouvrant avec Bébé de grands succès des Beatles, Nirvana, Radiohead, Bob Marley, Björk, et tout plein d'autres... En plus, les pochettes sont vraiment drôles!
À ma place, vous metteriez quoi?
Salon Mères et cie
Pour mon dernier samedi de mère célibataire, je me suis payé la totale : une sortie aux Galerie de la Capitale avec les quatre enfants! C'est qu'il s'y tenait le Salon Mères et cie en fin de semaine, et, à défaut d'être exposante, je tenais à y aller, au moins pour faire un tour d'horizon des services offerts à Québec. J'ai bien fait : j'y ai fait des rencontres intéressantes, à commencer par Marie-Hélène, de chez BBBoom, qui va m'approvisionner en T-shirt de maternité et en produits au beurre de karité importés du Burkina Faso. Il y avait aussi Sandra, de Signes et Merveilles, qui enseigne le langage des signes pour les bébés, et Sarah Leblanc, qui anime des ateliers de massage parents/bébés, et toutes les deux se sont montrées intéressées à venir offrir leurs services chez Rikiki. On doit se rappeler dans les prochaines semaines pour voir comment articuler notre partenariat.
Et ensuite? J'avais promis un tour de manège pour les enfants qui seraient sages durant ma tournée du Salon. Chose promise chose due, je n'épiloguerai pas sur la cohue, le bruit, les lumières hallucinantes, les files d'attente et tout le tralalère; il faut rester positif, alors disons seulement que les enfants ont ADORÉ leur samedi...
jeudi 1 octobre 2009
Tu veux mon sandwich?
Bonjour,
Ce message est pour vous aviser qu'à la suite d'un mauvais tour d'un camarade, Général Souriceau s'est retrouvée privée de son sandwich. Le jeune garçon assis à ses côtés a versé le contenu de sa bouteille de jus d'orange sur son sandwich. Nous avons trouvé quelques raisins et un demi concombre pour tenter de lui remplir l'estomac. Le jeune fautif a terminé son repas en retrait et mangera seul toute la semaine prochaine. J'ai aussi pris soin d'aviser ses parents.
Bonne fin de journée,
L'éducatrice
Réaction de Maman : Hoonn! Oups, mon Général, c'est plate ça! Veux-tu une bonne collation? (Pauvre éducatrice, elle devait être nerveuse d'avoir à m'annoncer ça...)
Papa : Hoon! Une semaine de retrait! Pauvre ti-gars, c'est beaucoup...
L'Ingénieur (7 ans) : Un demi-concombre, mais ça n'a pas de bon sens! C'est pas un dîner!
Douce (3 ans) : Moi aussi je veux des raisins!
Bébé M (7 mois) : Mon dîner à moi a été excellent, même si maman est arrivée en retard ce midi à la garderie (pour allaiter, bien sûr, car côté biberon c'est pas mieux qu'hier) parce qu'elle était avec une copine et qu'elle n'a pas vu le temps passer...
Le Général : Bon, est-ce qu'on peut parler d'autre chose?
Bon, d'accord, on n'en parle plus. Fini, c'est oublié. On va pas se mettre à faire des drames avec rien, quand même...
mercredi 30 septembre 2009
Défi : biberon
Ça fait un mois que Bébé M a commencé son intégration, à deux jours par semaine. Et ça fait un mois aussi qu'on essaie de lui faire prendre un biberon. Il s'agit d'essai, ici, hein, pas de réussite : Bébé ne comprend toujours pas la fonction d'une tétine, malgré le fait qu'on lui en ait présentées de toutes les formes et de toutes les textures. Pas qu'elle n'aime pas ça, non, je dirais même qu'elle s'amuse ferme à mordiller le silicone ou le caoutchouc et à répandre du lait partout, mais côté efficacité, zéro. Et quand elle se met à avoir faim, le biberon n'a plus aucun intérêt, et j'ai intérêt à rappliquer rapido pour un allaitement dans les règles de l'art.
Pour l'instant, ça convient encore comme arrangement, mais le temps file; il ne reste que cinq semaines avant mon retour au travail, et il va falloir trouver une solution...
Enfin, ce matin, au programme: régler la question des assurances. Et cet après-midi (après un saut à la garderie) : soumission pour le logiciel de gestion d'inventaire et ce genre de technicalité.
Bonne journée!
lundi 28 septembre 2009
Salon de l'ARVEQ
dimanche 27 septembre 2009
Et le gagnant est...

jeudi 24 septembre 2009
Les verrines de Bébé M
mercredi 23 septembre 2009
Visite au CLD et autres confessions
J'ai rencontré une dame qui m'a fait un topo rapide pas très encourageant : la plupart des organismes subventionnaires exigent de leurs projets qu'ils aient une dimension novatrice, l'idée étant d'aider le Québec à progresser dans l'univers hautement concurrentiel des nouvelles technologies. Inutile de dire que le commerce de détail ne cadre pas vraiment avec cette politique.
«Et le fait que mon projet comprenne un volet de vente sur internet (vente sur internet = utilisation des technologies de l'information = innovation???)? (Une fille s'essaie)
-Euh, non, désolée, ce n'est pas admissible.»
Remarquez que je ne suis pas contre cette politique, et que, en tant que citoyenne neutre et objective, je serais plutôt d'accord. Mais bon, en tant que chasseuse de subventions, ça m'ennuie un peu.
«Mais j'aurais peut-être un programme fédéral pour vous, destiné aux jeunes de moins de 35 ans, qui accepte le commerce de détail...
- Ah oui?
-Mais ce programme n'offre pas de subvention. Seulement un prêt à taux d'intérêt avantageux.
- Ça pourrait m'intéresser...
- Oui, bon, il faudrait ouvrir un dossier. Pour ça, il faut que vous déposiez votre plan d'affaire, votre CV et celui de votre conjoint, et ça coûte 50$. D'ici deux semaines, un conseiller vous contactera et vous aidera à monter votre demande. Nous avons un bon taux de succès avec ce programme, mais je vous avertis, il y a beaucoup de paperasse à remplir. Il faudra vous attendre à faire beaucoup de recherche pour compléter votre plan d'affaire, certaines sections de celui que vous m'avez montré sont incomplètes.»
Je suis rentrée à la maison, j'ai réfléchi pendant deux jours, et j'ai décidé de ne pas ouvrir de dossier au CLD, de ne pas présenter de demande pour ce programme. Ce n'est pas que je sois au-dessus de mes affaires au point de cracher sur un prêt intéressant et il ne s'agit pas ici de paresse ou de négligence; je considère que l'analyse que j'ai faite pour valider la viabilité de mon projet est suffisante, et je ne crois pas que de passer encore une centaine d'heures à polir mon plan d'affaire m'aiderait de quelque façon que ce soit.
Il semblerait d'ailleurs que le plan d'affaire n'augmenterait pas le taux de succès des entreprises et certains chercheurs l'associent plutôt à une perte d'énergie ; on le remet aussi en question ici.
Il y a probablement des démarrages d'entreprise qui nécessitent des études très poussées du marché, de la concurrence et des risques, notamment dans les domaines d'innovation. De même, il y a des montants de subvention qui justifient l'investissement de centaines d'heures de travail pour monter un plan d'affaire. Mais dans le cas de Rikiki, une fois qu'on a consulté des statistiques qui confirment que le quartier connaît un taux de naissance supérieur à la moyenne, qu'on sait qu'il n'y a pas de boutique du même type pour desservir sa population immédiate, et qu'il y a une demande croissante pour les couches lavables et autres accessoires de bébé, on a considéré qu'on avait une chance raisonnable de réussir. Et c'est là-dessus qu'on s'est basé principalement. J'ai fait un plan d'affaire rudimentaire contenant mon budget et mes prévisions financières, et c'est tout.
Voilà, c'est dit. Tant pis pour le prêt.
mardi 22 septembre 2009
Le rhume saisonnier
J'ai fait des commandes aujourd'hui pour la boutique. Et la première chose que j'ai commandée, pour être sûre de les avoirs le plus vite possible : les sacs de couchage Grobag.
On en aura donc chez Rikiki, mais tenez-vous le pour dit, le premier est réservé à Bébé M.
samedi 19 septembre 2009
Le blogue, outil de conversation
C'est un sujet à la mode, et ça s'adonne que ça m'intéresse aussi, parce que ça m'aide à cerner ce que je fais avec ce blogue. Je ne peux nier qu'il me sert de vitrine promotionnelle pour ma boutique d'accessoires pour bébés, et je l'avoue d'emblée, au point de départ, c'était l'objectif principal de l'entreprise. Je me suis inspirée principalement de Michelle Blanc sur ce coup-là, et d'un billet en particulier où elle conseille gentiment aux entreprises de «chier du texte» (de qualité et pertinent) à propos de leurs produits pour se donner une meilleure visibilité.
Mais un blogue, c'est beaucoup plus que de la publicité; pour en avoir fréquenté plusieurs, j'ai constaté que je développe rapidement un sentiment de proximité avec l'auteur. Maintenant que je suis de l'autre côté, je me découvre une soif de réciprocité, de commentaires, de la part de ceux qui passent ici. La «bidirectionnalité» du message est d'ailleurs l'une des cléfs du nouveau marketing : l'annonceur ne contrôle plus la totalité du message, mais ne fait qu'amorcer une discussion. La semaine dernière, Étienne Chabot traitait justement de la question de la transparence sur les blogues - en lien avec l'affaire Bixi, et écrivait ceci : «Un blogue est un outil de conversation et qui dit conversation dit transparence et confiance». C'est exactement ça, au fond, ce que je fais avec ce blogue, c'est tenir une conversation avec ceux qui viennent me lire, et c'est très agréable.
L'article du Devoir se termine sur un topo des campagnes publicitaires du 21ème siècle, où il est question de cette île qui s'est fait connaître par des millions de personnens en organisant un concours mondial pour trouver le gardien qui viendrait y habiter pendant un an. Ça me fait penser qu'il faudrait bien que je trouve quelque chose d'un peu original pour la promotion de Rikiki... Les concours de photos de bébés? Ca s'est vu un peu trop souvent... Le concours des meilleures purées? Un concours pour avoir le droit de garder mes quatre enfants??? Les (Z)imparfaites organisaient des 5 à 7 au vin rosé cet été; pas fou, mais peut-être pas adapté à mon créneau... Je continue à réfléchir... avec vous, si ça vous dit!
vendredi 18 septembre 2009
Les Robeez
Comment résister à cette logique implacable? Voici donc les Robeez : ces chaussures de cuir à semelles souples sont devenues des incontournables, à cause de leur design, bien probablement, mais surement aussi parce qu'elles sont rudement pratiques.
Et pour l'hiver, l'intérieur se recouvre de fourrure pour devenir Booties:
L'avantage économique des couches lavables
On le savait que c'était économique, mais on est bien content de se le faire confirmer. Pour ma part, je suis surprise par le coût associé à l'utilisation des couches jetables : de 1500$ à 2500$, c'est quand même des bidoux!
jeudi 17 septembre 2009
Logo!
D'abord, celle que j'appelle Les Ballons, d'une facture épurée et dynamique :


Ils sont dans la salle à manger, et on les regarde depuis hier. On nous a suggéré de «vivre avec» pendant une semaine, afin de faciliter notre choix, et ... de les montrer à nos amis!
S'il vous plaît, laissez un petit commentaire pour dire lequel vous préférez! Un gros merci!
mercredi 16 septembre 2009
Récupération des couches lavables
On peut les vendre, bien sûr, mais on peut aussi les donner à des organismes d'aide internationale qui vont se charger de les acheminer pour qu'elles soient utiles.
J'aime beaucoup cette idée: je vais joindre l'organisme Casira, qui se charge de ce type de mission, pour m'inscrire comme détaillante participante...